Les vêtements
Les vêtements compriment notre corps de manière souvent excessive. Les ceintures, bretelles de soutien-gorge et élastiques trop serrés font un barrage à l’activité de nos fascias et à la bonne circulation de nos graisses sous-cutanées. Lorsque nous nous déshabillons le soir, regardons-nous face à une glace et observons si notre corps présente des sillons rouges au niveau des bretelles ou des élastiques. Si oui, habillons-nous le lendemain matin en laissant à notre corps plus de liberté ! Vivent la djellaba et le boubou !
Bain dérivatif
La méthode ancestrale : le bain dérivatif consiste, après avoir bien réchauffé notre organisme par un bon chauffage de la pièce, des pulls, des chaussettes épaisses, un bonnet, à pratiquer des douces frictions des deux plis inguinaux inférieurs (les deux sillons entre la face interne de nos cuisses et notre périnée) avec une éponge ou un gant plongé dans une eau fraîche. Pour être bien compris, la zone se situe entre le sexe et l’anus. Le bain dérivatif doit nous faire ressentir une douce fraîcheur agréable. La notion de plaisir est essentielle. Nous n’avons pas de résultats positifs si nous nous torturons avec une eau glacée. La durée du bain dérivatif est d’environ 10 minutes en entretien quotidien, de 20 ou 30 minutes lorsque nous souffrons de problèmes chroniques et plusieurs fois par jour en cas de symptômes importants (fièvre, céphalée, migraine ou toute douleur forte). La méthode moderne : la technique moderne consiste à utiliser une poche de gel que nous faisons refroidir plus d’une heure au congélateur. Quand elle est bien froide, nous l’enveloppons dans une ou plusieurs feuilles d’essuie-tout avant de l’appliquer pendant une heure, comme une couche, au fond de la culotte. Avec un pantalon un peu moulant, nous pouvons fort bien vaquer à nos occupations, y compris la marche à pieds ou le vélo. Les précautions sont les mêmes que pour un bain dérivatif traditionnel : nous devons avoir le corps positivement chaud et ne pas torturer notre organisme. Le bain dérivatif est un formidable stimulant de l’activité motrice de notre fascia. Il active en conséquence la circulation de nos cellules graisseuses dans notre corps et leur travail de nettoyage, de purification et de régénération de notre organisme par l’apport de cellules souches adultes. Son indication régulière se trouve donc justifiée dans presque toutes les maladies dégénératives. C’est une réaction physique élémentaire régie par les lois de la thermodynamique. En conséquence, il n’y a pas d’accoutumance et nous ne devons pas y croire pour que ça marche. Si les résultats sont nuls, c’est que la pratique n’est pas bonne. Il faut néanmoins savoir que dans certains cas, les résultats ne sont pas immédiats. Nous pouvons même parfois observer des aggravations en matière de prise de volume. C’est la conséquence de l’extériorisation des graisses profondes de notre organisme. C’est la preuve que le bain dérivatif est efficace et qu’il nous faut poursuivre. C’est le corps qui choisit le travail de nettoyage et de régénération à effectuer. Il a ses priorités qui ne sont pas toujours les nôtres. Soyons patients quelques semaines, nous ne le regretterons pas. Pour plus d’informations sur le bain dérivatif, faire la visite passionnante du site de France Guillain : http://www.bainsderivatifs.fr L’adresse du site où vous pourrez vous procurer des poches pour pratiquer le bain dérivatif : http://www.yokool.fr